Le média produit des vidéos sur les réseaux sociaux. Les vidéos vulgarisent, enquêtent, donnent la parole à celles et ceux qui l’ont peu.
"Nous sommes un collectif d’une dizaine personnes, de 25 à 33 ans. Vidéastes, artistes, journalistes, militant.e.s... On s'est retrouvé sur base d'un constat : il manquait une voix, médiatique, régulière sur les réseaux sociaux pour aborder l'actualité belge à travers un regard progressiste. Le festival Esperanzah! faisait le même constat. L'équipe du festival nous a produit et, en mai 2018, Tout va bien est né".
Le collectif prend souvent position sur des enjeux société et travaille en étroite collaboration avec des collectifs et organisations qui animent les mouvements sociaux, en Belgique. Les formats vidéos varient en fonction du contenu (documentaires, émissions live, reportages, portraits, carte blanche, fiction...). Elles paraissent à un rythme de deux fois par mois, en moyenne, sur les différents réseaux sociaux du média.
En 2019, la petite Pia, âgée de seulement trois mois et atteinte d’une maladie rare au pronostic sombre, a vu ses parents être obligés de lancer une campagne de collecte de fonds pour payer son traitement. Ce dernier a coûté la somme astronomique de deux millions d'euros. Cette histoire soulève la question cruciale: comment en arrive-t-on à des coûts aussi exorbitants pour des médicaments essentiels?
Ce documentaire entraîne les téléspectateurs au cœur de l'industrie pharmaceutique pour révéler les pratiques de surfacturation utilisées par les entreprises pour faire exploser leurs prix. Des experts exposent les mécanismes de la surfacturation et mettent en évidence le rapport de force inégal entre la sécurité sociale, qui cherche à fournir des traitements utiles aux patients belges, et les entreprises pharmaceutiques qui cherchent à maximiser leurs profits, quelles que soient les conséquences pour les patients.
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